Provenance:

• Réplique autographe du portrait de Mademoiselle de Beaujolais commandé par le duc Louis d'Orléans (1703-1752), fils du Régent, en même temps que le portrait d’une autre de ses sœurs, Mademoiselle de Chartres ;
• le portrait original est mentionné par Marie-Catherine Tocqué, fille de l’artiste (« Abrégé de la vie de M. Nattier, peintre et professeur de l'Académie Royale de Peinture et de Sculpture par sa fille, Mlle Nattier l'aînée, épouse de M. Tocqué » in Mémoires inédits sur la vie et les ouvrages des membres de l'Académie Royale de Peinture et de Sculpture publiés d'après les manuscrits conservés à l'École impériale des beaux-arts, par MM. L. Dussieux, E. Soulié, Ph. de Chennevières, p. 356) ;
• peut-être vente Philipps, Londres, 29 juin 1831, lot n° 146 : « Jean-Marc Nattier, Portrait de Mademoiselle de Charolais, peinture », vendu 6,6 £ ; collection Édouard de Rothschild, Paris, Hôtel Saint-Florentin ;
• bien spolié, transféré au Jeu de Paume en 1941 (R 457) et restitué le 29 mars 1946 ;
• vente Paris, galerie Charpentier, Me Maurice Rheims - expert Robert Lebel -, le 30 novembre 1956 (additif à la vente de peintures hollandaises du docteur Wetzlar), lot n° B, comme Nattier et son atelier, Joueuse de guitare, vendu avec son pendant, le lot n° A, Jeune Femme aux deux amours, signé et daté à droite 17.1. ;
• vente Paris, Palais Galliera, 21 mars 1969, Me Maurice Rheims, René G. Laurin, Philippe Rheims, lot n° 175, comme Jean-Marc Nattier, Portrait présumé de Mademoiselle de Charolais, soeur du duc de Bourbon [de manière erronée, il est mentionné une provenance du duc de Sutherland et de la galerie Sedelmeyer qui concerne, en fait, une autre version], et son pendant sous le lot n° 176 ;
• Auction translate Daguerre, 11 mart 2022, lot 41 (as "Presumed portrait of Mademoiselle de Beaujolais, Jean Marc Nattier") [1] [2] [3]
• acquis par voie de préemption lors de la vente

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  Portrait presumed to be of Mademoiselle de Charolais by Jean-Marc Nattier (1731).jpg